Comme un attaquant de talent fonçant vers le filet, tu es rapide, précis et impossible à arrêter. Que ce soit sur la glace de la ligue Oleg Petrov ou dans les rues de Laval, tu joues toujours avec passion et détermination.
Chaque but que tu marques, chaque feinte que tu réussis, c’est comme une déclaration d’amour au hockey… et chaque pensée que j’ai pour toi, c’est une déclaration d’amour à l’homme incroyable que tu es. Tu es mon premier choix au repêchage du cœur, mon marqueur étoile, celui qui transforme chaque présence en zone offensive en pur bonheur.
Si l’amour était une saison de hockey, je jouerais à tes côtés jusqu’en finale, et même après la coupe, je voudrais encore prolonger la partie.
Paul
À moins d'un avis contraire, le match prévu lundi le 17 février tient toujours ! Au plaisir de vous voir en un seul morceau à l'aréna.
Un pneumothorax, c’est quand de l’air se retrouve entre ton poumon et la paroi de ton thorax, là où il ne devrait pas être. Cet air pousse sur le poumon et peut l’écraser, ce qui rend la respiration plus difficile parce que le poumon n’a plus assez de place pour bien se gonfler. Ça peut arriver après une blessure, comme une chute ou un accident qui perce un poumon, ou parfois sans qu’on sache vraiment pourquoi. Certaines maladies des poumons peuvent aussi en être la cause.
Les symptômes principaux sont des douleurs dans la poitrine et une sensation de manquer d’air. Heureusement, les médecins peuvent retirer l’air coincé avec un petit tuyau ou attendre que le corps le fasse naturellement. Une fois que l’air est parti, le poumon peut recommencer à fonctionner normalement !
Pour plus d'informations, cliquez sur ce lien.
Source :
ChatGPT, avec la requête suivante : Explique à des enfants de 13 ans ce qu'est un pneumothorax.
Salut les mordus de hockey ! Ici Louis Champagne, votre expert en tressage de bâton. Aujourd’hui, je vais vous montrer comment donner du style et de la performance à votre bâton avec ma fameuse tresse. C’est parti !
Étape 1 : Préparation
Avant de commencer, assure-toi d’avoir ce qu’il faut : ton bâton préféré, du ruban adhésif de hockey, noir ou blanc, ou encore une couleur funky si tu veux être original et une paire de ciseaux, mais honnêtement, avec un peu de pratique, tu peux t’en passer.
Étape 2 : Découpe des bandes
Découpe trois bandes de ruban d’environ 25 à 30 cm. Ensuite, plie-les sur elles-mêmes pour obtenir des rubans étroits et résistants. Voilà la base de notre tresse. C’est comme ça que tu transformes du simple ruban en matière première pour un bâton qui a du caractère.
Étape 3 : Fixation et tressage
Fixe tes bandes solidement en haut du bâton. Une fois que c’est bien en place, commence à tresser comme si tu faisais une natte de cheveux.
Étape 4 : Le moment de gloire
Voilà, ta tresse est prête ! Non seulement ton bâton a l’air génial, mais il est aussi plus facile à manier. C’est un coup gagnant sur toute la ligne. Alors, qu’attends-tu ? Attrape ton ruban et fais ta propre tresse. Envoie-moi tes créations, et je partagerai mes préférées dans la prochaine chronique !
Une année 2024 difficile
Depuis le début de l'année, les statistiques de Jocelyn Archetto ont fait pâle figure. Laissé dans l’ombre de ses coéquipiers, le gardien a dû se battre contre des éléments bien plus insidieux que l’adversaire : un mal-être personnel qui l’a empêché de performer à son meilleur niveau. « Ce n’était pas juste une question de hockey. C’était tout. Les matchs étaient devenus une source de stress énorme, j’avais du mal à me lever le matin et à me concentrer pendant les jeux », confie-t-il, visiblement soulagé de pouvoir en parler ouvertement.
Un tournant décisif
Lundi dernier, après une série de défaites désastreuses, Jocelyn Archetto a enfin mis un terme à sa longue séquence de revers. Lors d'un match contre l’une des équipes les plus redoutées de la ligue, il a signé sa première victoire de l’année, un exploit qui semblait presque inespéré. « C’était incroyable. Il n’y a pas de mots pour décrire ce que je ressentais en voyant le score final. C’est comme si un poids énorme m’avait été enlevé », raconte Archetto après la rencontre.
Ce match, qui s'est conclu sur une victoire de 8-3, a été marqué par une performance exceptionnelle du gardien. Avec plusieurs arrêts à son actif, Archetto a livré une prestation de haute volée, notamment en fin de troisième période où il a repoussé plusieurs tentatives à bout portant. « Il a retrouvé son rythme, sa détermination. On l’a vu dans ses yeux, c’était la même passion qu’au début de sa carrière. C’était un soulagement pour tout le monde », témoigne son capitaine, Hugo Boyer-Beaucage.
Un nouveau départ
Pour Jocelyn Archetto, cette victoire ne symbolise pas simplement un retour à la compétition, mais plutôt un renouveau personnel. « J’ai appris beaucoup de cette période difficile. Aujourd’hui, je suis plus fort, et je sais qu’il est possible de rebondir, peu importe les épreuves », affirme-t-il avec une lueur d’espoir dans le regard.
Un exemple pour les autres
L’histoire de Jocelyn Archetto est un message puissant pour tous ceux qui, comme lui, traversent des périodes difficiles. Le hockey, comme bien d’autres sports, est bien plus qu’une question de performances physiques. C’est aussi une question d’état d’esprit, de résilience et de soutien collectif. Et si les victoires continuent de se faire attendre, Archetto pourra toujours se rappeler que la plus grande victoire, il l’a déjà remportée : celle sur lui-même.
Les Sans Noms, sous la direction de Jonathan Bouchard, ont triomphé en série. L’équipe a su maintenir son calme et sa discipline, surmontant les défis un à un.
Les Éclairs de Miel, dirigés par Benoit Lebeau, ont malheureusement connu une défaite en série après un parcours intense et plein de promesses.
Francis Chapados traverse une période difficile. Après une série de défaites accablantes, son équipe vient de perdre en série, et lui-même n’a pas inscrit de points lors du dernier match.
Ces échecs successifs pèsent lourdement sur son moral et sur sa place au sein de la ligue. "Je me demande parfois si j’ai encore ma place ici", confie-t-il, pensant à son avenir. Pour l'instant, Francis réfléchit profondément à la direction qu’il souhaite prendre, tout en espérant retrouver la forme qui lui a permis de briller par le passé.
Une histoire à suivre...
Un passage inattendu
Dans le monde du hockey, Luc Léveillé était une étoile. Avec ses années de gloire sur la glace, il a été salué comme l’un des meilleurs attaquants de sa génération. Aujourd’hui, à la retraite, ce n’est pas une carrière d’entraîneur ou de commentateur sportif qu’il a choisie, mais un métier tout aussi passionnant : chauffeur de Zamboni.
Luc a annoncé sa retraite en 2024 après une carrière impressionnante, mais il ne s’est pas éloigné des patinoires pour longtemps. « Je voulais rester connecté au sport qui m’a tant donné », explique-t-il. Il a donc décidé de devenir chauffeur de Zamboni dans une patinoire locale, une aventure qui, à première vue, peut sembler surprenante.
La magie de la glace
Pour Luc, piloter une Zamboni est un peu comme jouer un match. « Il y a quelque chose de magique à transformer la glace abîmée en une surface lisse et parfaite pour les boyz », dit-il avec enthousiasme. Sa passion pour le hockey ne s’est pas éteinte, mais a plutôt évolué. En devenant chauffeur de Zamboni, Luc a découvert un métier qui lui permet de contribuer à l’expérience des boyz qui fréquentent les arénas. « Il y a quelque chose de magique à voir la glace se transformer sous vos yeux. Cela me rappelle mes débuts, chaque fois que je monte sur la machine », raconte-t-il avec un sourire mélancolique.
Un futur lumineux
Alors que la saison de hockey bat son plein, Luc Léveillé continue d’écrire son histoire, une Zamboni à la fois. Un parcours inspirant qui prouve que les passions évoluent, mais que le cœur du jeu reste intact. La nostalgie de ses années sur la glace est toujours présente, mais elle est désormais tempérée par la joie de voir les boyz vivre la magie du hockey. « Je suis là pour veiller à ce que la glace soit parfaite, et chaque fois que les boyz marquent un but, je ressens cette même euphorie que quand je jouais », conclut-il.
Patrice Côlisse
2Frères
Le géant vert
Forrest Gump
L'être humain de l'année depuis 2014
Elvis Crespo après le match
Signé Alexandre Locas
Les jouzeurs de la LHOP avant l'affontement final de la série du siècle...
La littérature scientifique le dit : la pratique régulière d’étirements statiques est efficace pour augmenter la mobilité articulaire et musculaire.
Patrice Gagné démontre les effets bénéfiques de ce type d'étirement auprès de ses collègues après avoir âprement disputé le dernier match.
Notez toutefois que ce genre d'étirements n’est pas recommandé lors d’un échauffement, ou simplement lorsque sa bobette est trop molle.
Suivant un excès de colère du Benjamin qui lui a valu la première pénalité de match de l'histoire de la ligue, ce dernier s'est répanti auprès du bourreau de la ligue.
Voyez l'état d'esprit du pugiliste, une semaine après son coup d'éclat, et comment il a tenté de se faire pardonner.
Si vous voulez plus de souvenirs hebdomadaires de la LHOP, passez le mot au responsable des souvenirs ! (Il sera dans la chambre des Locas dans les prochaines semaines.)
À la LHOP, nous respectons les aînés car nous reconnaissons la pertinence de leur expérience de vie. C'est pourquoi, semaine après semaine, nous organisons avant les matchs des brins de causeries avec eux.
Ici, Francis Chapados bénéficie des conseils du doyen de nos arbitres en chef. Nul doûte que notre joueur ressort grandi de ce moment d'échange privilégié.
Ne voulant prendre part à la traditionnelle photo des joueurs, notre responsable du souvenir quand même a sû croquer ce cliché sur le vif du joueur récalcitrant sur le point d'aller trôner.
Ici, à la LHOP, nous sommes fiers de participer à l'intégration des gens issus de communautés culturelles et/ou d'orientations sexuelles différentes. Quelle belle preuve d'ouverture sur le monde !
(Un des deux frères)
(L'autre frère)
Aucune archive...